Informer sous surveillance, le journalisme après Pegasus

À l’été 2021, 80 journalistes et 17 médias internationaux s’associent pour révéler l’affaire Pegasus. La surveillance massive via le logiciel espion Pegasus, capable d’infiltrer n’importe quel téléphone. Certains États l’ont utilisé pour traquer des gouvernements étrangers, des militant·es mais surtout des journalistes. Derrière cette affaire de cybersurveillance mondiale, la liberté d’informer, pilier démocratique, s’est retrouvée menacée. Depuis, les journalistes ont dû adapter leurs pratiques. 

Enzo Calderon et Sacha Gaudin

Retour en haut